Alcool, drogues et distractions au volant

La sécurité routière commence par des choix responsables.

L’alcool ou la drogue demeure l’une des principales causes de décès dans les collisions routières au Québec. Actuellement, en moyenne, l’alcool est en cause dans 25 % des collisions mortelles et dans 15 % des collisions avec blessés graves.

Le Service de police intermunicipal de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion met en place des actions pour sensibiliser la population sur l’importance d’adopter des gestes responsables.

Atelier de prévention routière

Chaque fin d’année scolaire, l’équipe de la prévention du Service de police intermunicipal de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaines/Bois-des-Filion tient un atelier de sensibilisation auprès des élèves de cinquième secondaire.

L’impact réel de l’alcool et des drogues au volant

Les jeunes portent des lunettes qui simulent les facultés affaiblies par l’alcool ou le cannabis. Le constat est unanime : il ne faut pas mélanger la consommation d’alcool ou de drogue, la distraction au volant et la conduite !

Ces activités rappellent qu’il est important que les conducteurs de tous âges adoptent un comportement responsable lorsqu’ils consomment en prévoyant des alternatives telles que :

Opération nationale concertée

De la fin novembre à début janvier, l’ensemble des services de police du Québec, en collaboration avec les contrôleurs routiers de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), intensifie ses interventions, dans le cadre de l’opération nationale concertée (ONC) ciblant la capacité de conduire affaiblie par l’alcool ou la drogue.

Ces interventions se traduisent entre autres par des dépistages réalisés dans les points de contrôle. En parallèle à cette opération nationale concertée (ONC), une campagne de sensibilisation est déployée notamment sur les différentes plateformes des médias sociaux des organisations policières. Cette campagne vise à rappeler aux conducteurs les conséquences de conduire avec la capacité affaiblie par l’alcool ou la drogue.

Il est primordial de mettre la population en garde face aux différents mythes qui circulent concernant la possibilité de recouvrer sa capacité de conduire plus rapidement dans certaines circonstances. Uniquement le temps permet de dissiper les effets liés à la consommation d’alcool ou de drogues.

De plus, la pratique consistant à estimer son propre taux d’alcoolémie avant de prendre le volant présente des risques importants et doit donc être proscrite. L’effet d’une seule consommation ne doit en aucun cas être sous-estimé. Lorsqu’on consomme de l’alcool ou de la drogue, on ne conduit pas.

Cette opération nationale concertée s’organise dans le cadre d’un partenariat entre la Sûreté du Québec, l’Association des directeurs de police du Québec, Contrôle routier Québec, la SAAQ et l’ensemble des services de police du Québec.

Vous désirez en apprendre plus?

Découvrez tout ce que vous devez savoir sur les comportements à éviter en visitant le site de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ). La sécurité routière est l’affaire de tous.